Le rhum vieux Depaz Port Cask Finish a vieilli 8 ans minimum en petits futs de chêne, puis 11 mois de finition en fûts de porto. Ce double vieillissement lui confère des arômes riches et gourmands de fruits cuits et de figues. A savourer pur, réchauffé au creux de la main dans un verre de dégustation.
La maison Depaz
Ancrées sur les flancs majestueux de la Montagne Pelée au nord de l’île, ces terres fertiles mais dangereuses racontent l’incroyable histoire d’un homme, Victor Depaz, au destin hors du commun.
A l’origine exploitées pour la culture du tabac, de l’indigo et pour l’élevage, les terres sont très vite utilisées pour la culture de la canne à sucre qui s’est fortement développée grâce à l’amélioration des techniques de distillation. Plusieurs familles y travaillent, dont celle de Victor Depaz, participant au développement de la production de rhum, et ainsi, à l’essor de la ville de Saint Pierre. Celle-ci devient le premier port rhumier mondial. Les fûts de rhum sont expédiés vers l’Europe et le liquide ambré suscite un fort engouement. La ville de Saint Pierre connait alors son apogée à tel point qu’elle est surnommée « Le petit Paris des Antilles ».
Au cours des années 1950, les fils de Victor Depaz prennent le relais de leur père. André et Raoul Depaz modernisent la production de la canne à sucre et améliorent la distillerie que tout le monde appelle désormais distillerie Depaz.
Aujourd’hui encore, les cannes à sucre gorgées de soleil, les sols volcaniques et l’eau d’une extrême pureté, participent au goût exceptionnel des rhums Depaz.
Ancrées sur les flancs majestueux de la Montagne Pelée au nord de l’île, ces terres fertiles mais dangereuses racontent l’incroyable histoire d’un homme, Victor Depaz, au destin hors du commun.
A l’origine exploitées pour la culture du tabac, de l’indigo et pour l’élevage, les terres sont très vite utilisées pour la culture de la canne à sucre qui s’est fortement développée grâce à l’amélioration des techniques de distillation. Plusieurs familles y travaillent, dont celle de Victor Depaz, participant au développement de la production de rhum, et ainsi, à l’essor de la ville de Saint Pierre. Celle-ci devient le premier port rhumier mondial. Les fûts de rhum sont expédiés vers l’Europe et le liquide ambré suscite un fort engouement. La ville de Saint Pierre connait alors son apogée à tel point qu’elle est surnommée « Le petit Paris des Antilles ».
Au cours des années 1950, les fils de Victor Depaz prennent le relais de leur père. André et Raoul Depaz modernisent la production de la canne à sucre et améliorent la distillerie que tout le monde appelle désormais distillerie Depaz.
Aujourd’hui encore, les cannes à sucre gorgées de soleil, les sols volcaniques et l’eau d’une extrême pureté, participent au goût exceptionnel des rhums Depaz.